24/02/2015
Tempête
Quand déferlent les marées d’hiver
Qui emportent tout sur leur passage
Il ne reste rien sur le sable nu
Même pas le souvenir de ce qui a été
Quand le vent parcourt la lande
Grande et belle en son immensité
Il emporte toutes nos illusions
Et nos rêves inassouvis
Quand les navires en perdition
S’échouent contre les falaises bleues
Il ne reste parmi les flots
Que des épaves flottant au hasard de la nuit
00:05 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : littérature
Commentaires
Très beau poème.
Écrit par : Michèle | 24/02/2015
Et sans oublier la bonne sirène qui protége les marins durant les grandes marées...
Écrit par : george | 24/02/2015
Ah, les sirènes... Il me faudra les introduire dans le prochain poème qui parle de la mer. Elles sont l'élément féminin indispensable à notre rêverie nostalgique.
Écrit par : Feuilly | 24/02/2015
Elles sont implicites. Pas toujours besoin de les nommer :)
Écrit par : Michèle | 24/02/2015
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