05/03/2010
obscurité (10)
08:30 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : littérature
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
08:30 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : littérature
Commentaires
Quant aux guerres, voir ma vidéo de dimanche prochain...
Écrit par : Cigale | 05/03/2010
Quant au statut de la maison toutes les options restent ouvertes et les aventures possibles. Une vraie mine d'idées. On la baptise "Feuilly's placer" ?
Écrit par : giulio | 05/03/2010
Sacrée technique du feuilleton qui nous rend accros.
Écrit par : Michèle | 05/03/2010
Écrit par : ellesurlalune | 05/03/2010
Je me réjouis de la suite!
PS Souvent, je suis frustrée par les nouvelles: le temps d'y entrer et l'on vous signifie votre congé. Ici, l'on ne cesse d'avancer. C'est en tous cas gagné pour le lecteur (mais ne terminez quand même pas trop vite, si j'ose dire, sans avoir l'air de donner des conseils de vieille dame à un puceau). Et si vous en faisiez un roman?
Écrit par : Natacha | 08/03/2010
Écrit par : giulio | 08/03/2010
Je n'ai pas non plus envie que ça s'arrête. Reste à savoir ce que veulent les personnages.
Écrit par : Michèle | 08/03/2010
@ Cigale : vous reconnaissez mon optimisme habituel… J’ai commencé à regarder votre video.
@ Giulio : la maison ? Non, il n’y aura pas de fantômes…
@ Michèle : oui, une enfilade de portes, qui retarde d’autant le moment de pénétrer dans la maison. Manière de dire que tout est difficile.
@ Ellesurlalune : mise en abyme ? Un peu, oui, perdus dans l’espace, les héros le sont aussi dans le temps. Ils vivent à un moment précis de la grande Histoire. La maison, témoin du passé, est là pour le leur rappeler. Ils ne sont que de passage.
@ Natacha : oui, c’est une longue nouvelle et vous savez que vous n’êtes pas pour rien dans sa longueur, comme d‘autres lecteurs d’ailleurs. Quant aux conseils de la « vielle dame », je vous rappelle que je ne suis pas beaucoup plus jeune que vous, vous vous laissez tromper par le récit de nos jeunes héros… Quant à un roman, il nous faudrait bien 150 pages, non ? On en est loin, je n’ai encore que 15 pages Word, New Roman, 11.
@ Michèle : quatre-vingt dix minutes de lecture ? Pour 15 pages Word ? Il faut donc supposer que la police d’impression dans un livre est plus grande. Pourtant, un livre de poche, c’est écrit petit, non ? Quant aux personnages ils voudraient surtout se reposer dans un bon lit. Y parviendront-ils ?
Écrit par : Feuilly | 08/03/2010
Quant aux quatre-vingt dix minutes (de 21h30 à 23h), si l'on compte, cela fait 9mn par texte. C'est normal et ce n'est pas une question de police d'impression, dis tout de suite que je suis miro sinon.
C'est que, mon cher Feuilly, tes textes ne se lisent pas comme des recettes de cuisine, ou des modes d'emploi pour démonter les moteurs ; on y jubile à découvrir les éléments en écho d'une séquence à l'autre, on s'imprègne des paysages, on s'attarde avec nos trois caprins...
Écrit par : Michèle | 09/03/2010
Écrit par : Feuilly | 09/03/2010
Comptes d'épicier-éditeur, laissez tomber.
Vous êtes entré dans la dimension du roman, c'est sûr. Le temps de lecture de Michèle le prouve.
Écrit par : Natacha | 09/03/2010
Si vous prenez le "Bel Eté", de Pavèse, cela fait des nouvelles de 70 à 100 pages si je me souviens bien.
Enfin, ce sont là comptes de bouitiquers. Ecrivons plutôt...
Écrit par : Feuilly | 09/03/2010
Je connais beaucoup de romans publiés qui font 100 pages selon ce modèle.
En matière de marathon, on peut dire que vous avez passé le 20ème kilomètre. A part ça, vous avez des semaines devant vous et pas une heure et demie pour le reste.
Et basta pour les calculs!
Écrit par : Natacha | 09/03/2010
Écrit par : Michèle | 09/03/2010
Les commentaires sont fermés.