01/02/2015
Absence
Les grands oiseaux blancs qui sillonnent le ciel
Ont laissé sur le sable l’empreinte de leurs pas,
Mais la marée, qui va et qui vient
A tout effacé de sa rage écumante.
Seule demeure intacte ma blessure
Et mon manque de Toi
Lorsque tu m’apparais en songe
Encore et encore,
Eternellement absente.
Dans la nuit noire,
Au cœur des solitudes,
Le vent court sur la mer
Et m’apporte l’odeur de ta peau.
A l’aube, les nuages en sang
Oscillent comme des vagues.
Ils sont la houle de nos rêves
Les draps froissés de nos lits de sable.
00:57 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : littérature
Commentaires
Écrit par : cleanthe | 02/02/2015
Écrit par : george | 02/02/2015
Écrit par : Feuilly | 02/02/2015
En passant c'est quand un nouveau livre que l'on pourrai vous lire...
Amitiés en toutes sincérités
Je sors de l'ombre mon chemin...
Écrit par : george | 02/02/2015
Pour le livre, il faut encore attendre un peu, patience, patience :))
Écrit par : Feuilly | 03/02/2015
Écrit par : Bertrand | 03/02/2015
En passant Bertrand vous avez une bonne mémoire
Belle journée a vous deux dans mes petits papiers la vie est un long poème que l'on écrit soi même je suis de deux nationalités proche de Bertrand
Au plaisir de vous lire a travers internet....
Amitiés
Écrit par : george | 04/02/2015
George, il me semblait que vous aviez un site qui s'appelait "La datcha hantée", et après vérification, ce site est celui d'Alfonsine (qui signe Alfonse chez Bertrand).
Écrit par : Michèle | 04/02/2015
Écrit par : Michèle | 07/02/2015
Écrit par : Feuilly | 07/02/2015
"comme ces nuages en feu allongés sur les arbres d’une aurore immobile"
(dans le prologue - non gardé à l'édition - du "Silence des chrysanthèmes")
Voir, lecteur, comment court le feu, d'un poète l'autre...
Et s'éjouir copieusement des plumes incandescentes
http://anagrammedesanges.blogspot.fr/2015/02/secret-des-iles-2.html
Écrit par : Michèle | 08/02/2015
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