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11/11/2014

Un enterrement pas ordinaire (5)

 

 

(FIN) 

 

 

00:05 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : littérature

Commentaires

Hé ben...
Voilà qui est rondement mené. Cette fin est épatante, apothéotique et homérique :)

Écrit par : Michèle | 11/11/2014

@ Michèle : une fin épatante, vraiment ? Pas pour Victor en tout cas :))))

Écrit par : Feuilly | 11/11/2014

Je parlais de l'écriture :)

Enterré vivant, Victor eût pu espérer meilleur sort, mais apparemment personne ne souhaitait le voir sortir de sa boîte :)

Écrit par : Michèle | 12/11/2014

Je me doute bien que tu parlais de l'écriture (c'est ta spécialité). Mais j'aime bien parfois faire celui qui n'a rien compris :))

Écrit par : Feuilly | 12/11/2014

En fait, il s'agit d'un meurtre "de la lutte des classes" :))
Cette fin est surprenante et brutale à souhait. Bien vu !
Zola écrivit une nouvelle ( qui n'a rien à voir avec la tienne, je te rassure) où le mort est également enterré vivant... La mort d'Olivier Bécaille.
Tu connais ?

Écrit par : Bertrand | 12/11/2014

@ Bertrand : non, je ne connais pas du tout cette nouvelle de Zola.L'idée m'était venue en lisant quelque chose sur je ne sais plus quel empereur byzantin, qui avait emmuré vivant son prédécesseur.

Écrit par : Feuilly | 12/11/2014

Dans "La Grande Bretèche", une des nouvelles de La Comédie Humaine, il y a un amant espagnol emmuré vivant par un mari qui a convoqué une armée de maçons pour fermer le cabinet où se cache l'amant de sa femme.

Écrit par : Michèle | 12/11/2014

De toute façon, en littérature, l'important n'est pas tant le sujet que la manière dont il est traité.

Écrit par : Bertrand | 12/11/2014

@ Michèle : c'est très "moral" ta nouvelle : celui qui trompe est puni.
@ Bertrand : inévitablement, depuis 2.500 ans qu'on écrit des histoires et je en parle que de notre civilisation à nous), on a un peu épuisé tous les sujets. Tout est donc dans la manière. Avec le risque de dire avec Roland Barthes qu'il n'y a que la forme qui compte. Le style, quoi. C'est d'ailleurs ce que disait Céline. Mais il y a aussi, comme tu le dis, la manière de le raconter.

Écrit par : Feuilly | 12/11/2014

Le style, certes, mais aussi et surtout la mise en perspective du propos....
Qui est, à quelque chose près, toujours le même : l'amour, la mort, la difficulté d'être...

Écrit par : Bertrand | 13/11/2014

Tout à fait.

Écrit par : Feuilly | 13/11/2014

Les commentaires sont fermés.