06/06/2014
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16:27 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : littérature
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Commentaires
Marcher, humer, contempler, se souvenir, rêver et puis marcher... Dans ces instants rares, simples et furtifs, on saisit immanquablement la futilité de l'agitation humaine et on se laisse aller à la rêverie...
Écrit par : Halagu | 09/06/2014
L'agitation humaine, oui... Elle me fatigue de plus en plus, je dois dire. Surtout quand elle consiste à plumer son voisin pour s'enrichir au maximum. Pour être respecté, il faut pouvoir montrer des signes extérieurs de richesse et seul ce qui se voit et brille semble définir la qualité d'un individu. D'où ce besoin d'un ailleurs pour échapper à tout cela. Une sorte de jardin primitif à la Rousseau sans doute :))
Et la poésie n'est-elle pas le plus beau jardin intérieur ?
Écrit par : Feuilly | 10/06/2014
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