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12/11/2010

Obscurité (60)

 

 

 

00:28 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : littérature

Commentaires

Félicitations, cher Feuilly
Excellente distance entre l'écriture, le drame et l'écrivain.
Je dis excellente distance parce que dire de telles situations est souvent casse-gueule.
Bravo à toi.

Écrit par : Bertrand | 12/11/2010

Ah oui ! Bravo pour cette aventure qui nous aura tenue en haleine si longtemps ! Nous sommes tristes que ce soit fini, mais j'aime beaucoup cette histoire ainsi que les paysages décrits.

A mon avis il y a juste une erreur : la victoire de l'OM !! (maourfff je viens de me faire plein d'amis là...)

Écrit par : Cigale | 12/11/2010

C'est exactement ce que j'ai voulu dire quand j'ai parlé de l'absence de pathos, de grandiloquence. Bertrand le dit plus clairement que moi.
Mais j'y reviens car ce n'est pas rien ce qui se passe avec "Obscurité" depuis presque un an.
Écrire à vue sans que l'écriture jamais (ne) faillît. Elle établit les distances, fait les réglages nécessaires. Jouant des registres (parfois onirique, et/ou fantastique), des niveaux de langue.
Qu'eût été une histoire pareille (à supposer un synopsis, un plan de départ) sous la plume d'un pisseur de copies, d'un faiseur de littérature consentante, concertante, destinée à "distraire" le public ?

Écrit par : Michèle | 12/11/2010

@ Bertrand : oui, l’enfant reste digne, il apprend les choses par lui-même et intériorise sa douleur. Sinon, je risquais moi aussi de déraper dans le pathos.

@ Cigale : je n’y connais vraiment rien en football et j’ai mis cette ligne pour montrer la futilité des titres de nos journaux par rapport aux drames de la vie (individuels ou collectifs). L’enfant se retrouve encore plus seul de voir que les autres ne s’intéressent pas longtemps à son histoire.

@ Michèle : ce fut une expérience enrichissante que cette année, assurément. J’avançais à vue, sans jamais rien relire des anciens épisodes. Ce n’était pas gagné d’avance. Il fallait rester cohérent.

@ tous : il reste un tout petit épisode pour le lundi 25

Écrit par : Feuilly | 12/11/2010

Oui je l'avais bien pris comme tel ! :-)

C'était juste une boutade sur les défaites récurrentes de l'OM (dont je me moque comme de l'an II vu que je déteste le foot, mais dans ma région il paraît que c'est sacré, rien que ça...)

Chouette pour l'épilogue.

Écrit par : Cigale | 12/11/2010

Oui, oui, je sais que vous savez Cigale. Et je n'ai pas oublié votre opinion sur les gens du Sud et leur engouement pour le foot, où ils voient un moyen d'afficher leur fierté occitane.

Mais Nord ou Sud, ces débordements de foules m'ont toujours parus suspects.

Écrit par : Feuilly | 12/11/2010

Bravo Feuilly!

Rien à ajouter aux commentaires des copains lecteurs. Sauf qu'il serait dommage d'en rester là, quitte à nous consoler d'un "tout petit épisode" lundi 25.

Mais je comprends que tu sois un peu fatigué après ce vaillant 10000 m, que tu désires faire le le point, revoir le tout, fignoler.

Mais je pense aussi que tu vaux un marathon et que ton récit peut être le premier d'une vraie saga.

Soumets-le donc à quelques éditeurs après finissage, et attaque en même temps ton deuxième livre. Qu'est-ce que tu en dis?

Écrit par : giulio | 14/11/2010

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