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08/11/2010

Obscurité (59)

 

 

 

 

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07:00 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : littérature

Commentaires

Noooooon !

Écrit par : Cigale | 08/11/2010

Un bel épisode, même si c'est dur.
Une belle maîtrise littéraire. Le lieu existe très fort, et nos personnages vont au bout d'une logique à l'œuvre depuis un moment. Aucun pathos, et ça c'est fort.

Écrit par : Michèle | 08/11/2010

Heureusement, les deux gendarmes - dont l'assistance et protection des citoyens est aussi le devoir - vont immédiatement faire envoyer un hélicoptère pour porter secours aux fugitifs... Mais quand même, 600 m ça fait beaucoup...

Écrit par : Cigale | 11/11/2010

Oui, c'est assez dur. Quant à la suite, que je viens de terminer hier, vous n'êtes pas loin de la vérité, Cigale. Mais comme vous dites, 600 mètres, cela fait beaucoup...

Aucun pathos? Forcément, à ce stade on décrit ce qui se passe et l'accident n'a pas encore eu lieu.

Écrit par : Feuilly | 11/11/2010

L'accident a lieu et on le sentait venir ou en tout cas on le savait probable.
La course telle qu'elle est racontée provoque une émotion, mais l'auteur ne se sert pas des signes de cette émotion.
C'est-à-dire que la poursuite n'est pas présentée de manière pathétique, elle obéit à une logique.
Les personnages ne se perdent pas en lamentations et regrets, comme c'est le cas dans les mélodrames. Ils agissent, réagissent à la situation.
C'est cela que j'ai voulu dire : on reste dans l'action.

Et ce qui est marrant, c'est que πάθος , c'est, au sens premier, "ce qui arrive".
Dans un second temps seulement vient l'idée de souffrance, de malheur.

Écrit par : Michèle | 11/11/2010

πάθος,

1. Ce qu'on éprouve.
2. Évènement, conjoncture.
3. État de l'âme agitée par diverses circonstances.
4. Les évènements ou les changements dans les choses.

Écrit par : Feuilly | 11/11/2010

superbe episode mais noooon!

Écrit par : OM | 01/12/2010

Les commentaires sont fermés.