Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/10/2010

Obscurité (56)

 

« 

50839639annonce-edited-jpg.jpg

 

07:00 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : littérature

Commentaires

L'Italie c'était un bon plan. C'est un pays où il y a de l'entraide, de la générosité chez les petites gens...
J'aime bien ce personnage du vieux monsieur, haut en couleurs et qui n'a pas froid aux yeux.
Je me pose une question : comment les gens peuvent-ils dénoncer et ne pas même parler avec cette femme, se renseigner sur sa situation et discuter ? Pourquoi cette propension à se ranger systématiquement du côté de l'ordre ?
ça fait froid dans le dos, l'Histoire n'apprend donc jamais rien ?

Écrit par : Michèle | 26/10/2010

Je m'affole, comme cette mère qui me passe son stress... Alors qu'au fond, les gendarmes, ne sont là que pour lui rapporter des papiers qu'elle a oubliés à la banque. Et si tu dis qu'il ne faut pas dévoiler la suite de l'histoire, je dis moi que les lecteurs ont le droit de se projeter aussi et tant pis pour l'auteur qui n'a qu'à ne pas nous faire languir ainsi. :)

Écrit par : Michèle | 26/10/2010

Quand ça sent la pélerine, ça ne flaire pas trop le " happy end"..
A mon sens gendarmophobe, bien sûr...

Écrit par : Bertrand | 26/10/2010

Et l'amie, revenue du Pérou à La Courtine, n'a-t-elle pas trouvé une lettre de la mère dans la maison (un Journal) et n'est-elle pas juge dans ce genre d'affaires? Elle fait tout pour retrouver la mère, même passer par la gendarmerie...
Non?
Et le père, plus bête que méchant, en arrêtant de boire a rencontré des gens biens. Il veut réparer sa connerie et tente d'atteindre son épouse par tous les moyens, il a même versé une grosse somme sur le compte de son épouse, d'où perplexité des banquiers (qui n'en restent pas mois des ordures).
Non?
Sainte Rita ne passera pas par là.
Allez-y Feuilly, plongez-nous dans une fin sinistre!

Écrit par : Natacha S. | 26/10/2010

Corriger: des gens bien...Merci!

Écrit par : Natacha S. | 26/10/2010

Bienvenue chez moi

Écrit par : voyageuse | 30/10/2010

@ Michèle : « Pourquoi cette propension à se ranger systématiquement du côté de l'ordre ? » Pourquoi y avait-il plus de collaborateurs en 1940-45 que de résistants ?
« tant pis pour l'auteur qui n'a qu'à ne pas nous faire languir ainsi. » Et qui va encore vous faire languir un peu car il a pris du retard …
@ Bertrand : « gendarmophobe ». Littéralement « qui craint les gendarmes ». Le mot te convient-il vraiment ? Il y a autre chose que de la crainte chez toi, non ?

@ Natacha : désolé, mais vous savez que je ne crois pas à Ste Rita. Il n’y aura donc pas de miracle et la fin ne sera donc pas aussi agréable que vous l’espérez.

@ Voyageuse ? Pourquoi « Bienvenue chez moi » ? Vous nous écrivez de prison ?

Écrit par : Feuilly | 30/10/2010

Tu as raison, s'il y avait eu propension à se ranger du côté de l'ordre, nous n'aurions pas eu une charte de la Résistance, connue sous le nom de programme du Conseil national de la Résistance. Un programme qui, près de soixante-dix ans plus tard, dérange encore les puissances financières...

Écrit par : Michèle | 30/10/2010

Le dictionnaire historique de la langue française dit aussi que le composé en -phobe (s'opposant souvent au composé en -phile), exprime l'aversion instinctive, l'hostilité irraisonnée ou, parfois, l'absence d'affinité vis-à-vis de qqn ou qqch.

Écrit par : Michèle | 30/10/2010

...qui exprime l'aversion. Exact. J'en restais un peu à l'étymon grec: φοβέω

Écrit par : Feuilly | 31/10/2010

Ah, il me semblait bien !
T'aurais préféré, peut-être, que j'imite Brassens et parle de "gendarmicide" ...Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Écrit par : Bertrand | 03/11/2010

Les commentaires sont fermés.