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31/10/2010

Obscurité (57)

 

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01:45 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : littérature

Commentaires

Beaucoup d'émotion à vous lire. Je ne ferai pas d'autre commentaire. Je suis toute embuée.

Écrit par : Natacha S. | 31/10/2010

La maman vient d'aggraver sérieusement son cas ! Cette fois ça sent la fin...

Écrit par : Cigale | 01/11/2010

"On longeait une rivière, ce qui signifiait que les virages se succédaient sans arrêt et qu’ils étaient tous plus difficiles les uns que les autres."

J'adore ce genre de phrase, qui m'oblige à prendre conscience des raisons de tel paysage, tel tracé de route. Ce sont des choses que je ne pense pas à analyser. Je n'ai pas le regard "géographique" :)

Pour le reste, je partage l'avis de Cigale.

Écrit par : Michèle | 01/11/2010

Comme Michèle, je pense à votre «regard géographique», gros atout dans tout ce récit. Cela a commencé dans les premiers chapitres, avec le pays des volcans éteints.
Entre deux boulots, deux textes, j'imagine une autre fin pour «Obscurité». Je ne pense pas que je trouverai celle que vous lui donnerez. Je vous dirai!

Écrit par : Natacha S. | 02/11/2010

@ toutes : oui, la fin approche, notre trio est bien mal en point maintenant, bien "coincé" aussi. Quant à la géographie, elle faisait partie de notre histoire, non? Forcément, puisqu'il s'agit d'un voyage. Les paysages travsersés sont donc aussi importants que les personnages, du moins pour moi, dans le plasir que j'ai à les décrire, à les écrire.

Écrit par : Feuilly | 02/11/2010

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