11/06/2010
Obscurité (32)
07:00 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : littérature
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
07:00 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : littérature
Commentaires
Ah, que c'est joli, charmant, splendide, unique, ces premières paralysies, ces flambées de honte, ces joues en feu; plus jamais il ne les connaîtra.
N'en reste que le souvenir. Merci Feuilly de le raviver si joliment!
Écrit par : giulio | 11/06/2010
Oui, ces paralysies des premières amours...
Quel effroi ! Que d'occasions manquées aussi...
Écrit par : Feuilly | 11/06/2010
Belle description des 1ers émois , vraiment j'aime beaucoup et je le dis , votre texte coule et chante tout doux
Écrit par : ellesurlalune | 14/06/2010
Les commentaires sont fermés.