02/04/2010
obscurité (17)
08:30 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : littérature
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Commentaires
Votre "boutique" me ramène 10 ans en arrière. De passage à Mazamet, j'ai connu une droguerie du même genre tenue par une octogénaire. Son commerce m'a fait l'effet d'un supermarché qu'un magicien aurait réussi à comprimer dans une boîte d'allumettes. C'était extraordinaire !
Écrit par : Le Photon | 02/04/2010
vite la suite :)
Écrit par : ellesurlalune | 02/04/2010
Je reviendrai
Écrit par : Emma | 02/04/2010
@ Photon: je suis déjà passé par Mazamet, mais je ne suis pas entré dans votre droguerie. Dommage. Mais j'ai connu de petites épiceries de villlage, dans des coins reculés, lorsque j'étais enfant, qui m'ont laissé des souvenirs inoubliables.
http://coumarine2.canalblog.com/archives/2007/11/13/6834010.html#comments
Écrit par : Feuilly | 02/04/2010
@ ellesurlalune: patience, c'est encore fort confus dans ma tête.
@ Emma: vous prenez le train en marche, il va vous falloir lire les 16 premiers chapitres...
Écrit par : Feuilly | 02/04/2010
Bouquiniste avant sa retraite, le vieux monsieur ! Fabuleux...
Écrit par : Michèle | 02/04/2010
Je note que la clef est dans la serrure ;)
Écrit par : Athanase | 03/04/2010
Juste un signe en passant. J'aime beaucoup la «vraissemblabilité» (on ne dit pas cela, mais quoi?) de chaque chapitre. Réalisme et magie...
Bonne(s) Pâque(s)!
Écrit par : Natacha | 03/04/2010
Je reprends pied (ou suite) dans votre histoire. Si vous continuez à ce rythme, ça deviendra les mystères, pas de Paris, mais de Limoges. Il y a de la matière et de la maitrise feuilletonnesques dans tout ça.
Écrit par : solko | 04/04/2010
Mieux que maîtrise feuilletonnesque: les fameux feuilletons du XIXe devait être revus et sabrés pour pouvoir paraître en entier. Il fallait arranger les invraissemblances. Là, il n'y en a pas.
Écrit par : Natacha | 04/04/2010
Merci de corriger: devaient être... etc. merci.
Écrit par : Natacha | 04/04/2010
@ Natacha : la «vraissemblabilité», comme vous dites, est primordiale. Il ne faut pas écrire ce qui est vrai, mais ce qui est vraisemblable, disait je crois Diderot dans sa définition du drame. Quant à la magie, ne provient d’elle pas d’une certaine poésie sous-jacente ?
@ Solko : les Mystères de Paris, ma foi pourquoi pas ? C’est déjà un beau compliment.
Écrit par : Feuilly | 05/04/2010
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