20/02/2010
Obscurité (7)
09:12 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : littérature
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09:12 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : littérature
Commentaires
J'aime bien la chute.
Écrit par : Michèle | 20/02/2010
Prière de la lectrice angoissée à une Force Supérieure, ou à l'auteur-même:
Faites que la maison soit accueillante, avec un robinet pour l'eau et de quoi faire du feu. Cela peut arriver dans la réalité, non? Ou emmenez-nous dans le fantastique où il y a encore des fées!
Bonne suite!
Écrit par : Natacha | 20/02/2010
@ Michèle : la chute de l'arbre sur la terrasse ou la chute du texte? (sourire)
@ Natacha: il y aura du feu, c'est prévu. C'est à peu près la seule chose qui est prévue, d'ailleurs. Mais bon, chuuut, les lecteurs peuvent juste lire en silence.
Écrit par : Feuilly | 20/02/2010
Magie des maisons abandonnées. Portes vers toutes les aventures!
Écrit par : giulio | 20/02/2010
Portes au sens de passage, comme dit notre ami Jalel:
http://jalelelgharbipoesie.blogspot.com/2010/02/des-portes.html
Écrit par : Feuilly | 21/02/2010
Je la vois très bien, votre maison, en plein sur le plateau de mille vaches. Je sens même les arômes. On pourrait presque s'arrêter là. Mais on a envie de continuer avec ces personnages. On a envie.
Écrit par : solko | 21/02/2010
Pour une histoire qui ne devait avoir qu'un seul épisode, vous faites très fort... :-)
Mai j'aime bien cette histoire, surtout ses rebondissements inattendus comme ici avec la maison vide.
Que nous réserve la suite...?
Écrit par : Cigale | 21/02/2010
Oui, Cigale, un seul épisode, mais il est fort long...
Écrit par : Feuilly | 22/02/2010
Daniel Halévy raconte que Charles Péguy, durant l'attente d'un train dans une gare de Lozère (pas très loin de votre maison, donc) lui récita un sonnet qu'il venait de composer et qui, loin de s'arrêter au quatorzième vers, se poursuivait infiniment. Halévy l'arrête et dit à Péguy : "Ne m'aviez-vous pas parlé d'un sonnet ?- Oui, répondit Péguy, mais au lieu de deux tercets, j'en ai écrit plusieurs". Et comme le train n'arrivait pas, Halévy demande, un peu inquiet : "combien ? Et Péguy
répond : une centaine."
Écrit par : solko | 22/02/2010
Une centaine? Diable...
Par contre, la Lozère, vous me donnez des idées. J'en garde de merveilleux souvenirs de vacances (comme la Creuse et la Corrèze, d'ailleurs).
Écrit par : Feuilly | 22/02/2010
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