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19/03/2009

Fnac

Nous parlions l’autre jour de la Fnac et de sa politique culturelle. Aujourd’hui il convient de parler de sa politique sociale. Trouvant sans doute qu’elle ne faisait pas assez de bénéfices (j’avais cru comprendre pourtant qu’elle avait parfaitement intériorisé le concept de «consommation culturelle») ou constatant que lesdits bénéfices ne suffisaient pas à contenter la boulimie des actionnaires, il a été décidé de supprimer 400 emplois en France (150 en province, 50 au siège central et 200 dans les magasins parisiens proprement dits)

Que dire d’autre ? Je ne peux que renvoyer à l’appel à l’aide repris sur le site « Turbulence » d’Alain Freixe.

Commentaires

Je suis allée sur le site d'Alain Freixe. Je relaierai l'information et l'appel à l'aide.

Écrit par : michèle pambrun | 19/03/2009

La politique de la consommation, du profit laisse des hommes et des femmes sur le carreau, je suis écoeurée... Le Dieu profit n'a pas fini de faire parler de lui...

Écrit par : Débla | 21/03/2009

Non, cela ne fait que commencer. J'ai lu que les parlementaires européens eux-mêmes étaient horrifiés des décisions de la Justice de Strasbourg, qui donnait raison à des firmes qui engageaient des ouvriers polonais au tarif polonais et pas au tarif français ou allemand (alors que les firmes étaient implantées en France et en Allemagne). Cela veut dire qu'il va falloir accepter des salaires réduits de moitié... Vive l'Europe libérale. Et vive Sarkozy qui adapte le traité de Lisbonne alors que tout le monde a dit non.

Écrit par : Feuilly | 21/03/2009

Les commentaires sont fermés.