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26/11/2017

Sans nouvelles d'elle

Cette nouvelle était parue ici même, sur Marche romane, il y a très longtemps. L'idée m'en était venue après des échanges par mails que j'avais eus à l'époque avec une interlocutrice. Nous avions beaucoup parlé de la littérature et du poète Jaccottet notamment. J'étais donc parti de cet échange fructueux avec une inconnue pour écrire cette nouvelle, totalement imaginaire.

L'opportunité m'a été donnée de la reprendre et de la publier dans la revue en ligne "ONUPHRIUS".

Sur le plan du style, des détails ont été corrigés, suite aux conseils judicieux de Jean-David Herschel, que je remercie au passage pour sa perspicacité.

 

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Commentaires

Cette nouvelle, que j'ai dévorée, a tout pour me plaire. Elle évoque des thèmes chers à mon coeur, la littérature, la peinture et les frêles liens subtils qui les relient entre elles, et puis un homme et une femme, la brève rencontre virtuelle de deux êtres, la possibilité d'une île, le mystère des choses, le non-dit et la découverte sensible et pudique à travers l'écran, les mots et l'attachement que l'héroïne a pour eux. Même la région évoquée me parle fort, Collioure et son écrin, la proximité de l'Espagne de Dali et la mer turquoise baignant les pieds des Pyrénées.
Merveilleuse surprise de ce dimanche, rayon de soleil dans un ciel pâle.
¸¸.•*¨*• ☆

Écrit par : celestine | 26/11/2017

Je viens d'aller lire ta nouvelle, très prenante je dois dire, emportante... mais où? ;)

Écrit par : Edmée De Xhavée | 26/11/2017

Très belle réécriture de ta nouvelle :)

Écrit par : Michèle | 26/11/2017

Jean-David fait un travail éditorial remarquable.
Il serait dès lors assez sympa qu'il en soit lui aussi, sur Onuphrius, remercié par vos commentaires...

Écrit par : Bertrand | 27/11/2017

Merci Célestine pour ce beau commentaire :))
@ Edmée : où nous emporte nos récits ? Au plus profond de nous-même, souvent.
@ Michèle : tout à fait.

Écrit par : Feuilly | 27/11/2017

Merci Célestine pour ce beau commentaire :))
@ Edmée : où nous emporte nos récits ? Au plus profond de nous-même, souvent.
@ Michèle : tout à fait.

Écrit par : Feuilly | 27/11/2017

Hey ! Môssieur Bertrand,
D'abord, on commente où on veut, non mais qu'est-ce qui m'a fichu un dictateur pareil ? :)
Et puis Onuphrius reçoit nos visites, et il n'est pas toujours facile de laisser des commentaires sur un site qu'on ne connaît pas...
Mais comme tu as (quand même) raison, nous tâcherons de fréquenter Onuphrius, qui a bon goût en matière de publication :).

Écrit par : Michèle | 27/11/2017

Hello les copains ! Rassurez-vous, il n'y a pas besoin de remerciements : nous nous sommes déjà remerciés mutuellement, Jean-François et moi, par courriels (et nous n'avons pas, contrairement à Yseut, disparu du cyber-monde ^ ^). Du reste, tout le matériau littéraire était déjà présent dans la version précédente ; je me suis borné à de légères retouches de ponctuation ou de formulation, ça et là, en plein accord avec l'auteur, qui a toujours eu le dernier mot. Et puis les éditeurs ne doivent-ils pas rester dans l'ombre ?

Écrit par : Jean-David | 27/11/2017

J'ai beaucoup aimé ! Cette symbiose entre cette nature changeante, évolutive au gré de l'état d'esprit ou d'âme du protagoniste. Cette quête d'enfin concrétiser cette rencontre virtuelle mais combien vraie puisqu'elle réveille un si sincère et profond questionnement ! Et puis cet épilogue fantastique et romantique. Serait-elle une muse, sa muse ?

Écrit par : Marie-Noëlle Fargier | 28/11/2017

@ Marie-Noëlle : une muse qui m'avait inspiré, moi aussi, quand j'avais écrit cette nouvelle :)))

Écrit par : Feuilly | 28/11/2017

Les commentaires sont fermés.