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11/10/2010

Obscurité (53)

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07:00 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : littérature

Commentaires

Avec Pagnol, nos héros vont-ils se diriger vers la Provence ?

Quant au lapin, incroyable circonstance qui en fait le sujet de mon prochain billet Tante Marie...

Écrit par : Cigale | 11/10/2010

Très bel épisode. C'est avec bonheur que l'on croise des paysages donnés à lire par un fin connaisseur...

Écrit par : Michèle | 11/10/2010

On retrouve un peu de bonheur, et c'est tant mieux. Quel plaisir de vous lire! Merci!

Écrit par : Natacha S. | 11/10/2010

Merci d'avoir cité Jean Carrière. Je découvre qu'il avait écrit un essai sur Jean Giono et un essai sur Julien Gracq.
À la disparition de Jean Carrière, Julien Gracq écrivait : "La vraie littérature ne trouve plus guère de combattant aussi fougueux et aussi complètement engagé en elle."
Je vois que cinq de ses romans, dont "L'Épervier de Maheux", viennent d'être réédités. Je vais lire Jean Carrière.

Le bonheur à lire sous ta plume des géographies qui font sens ne fait pas oublier, et pour cause, que l'on est dans un pays de failles, de cassures et de ruptures :
"Or ici, non seulement l’obstacle existait, mais il était constitué par un à pic, autrement dit par un trou, par du vide. (...) En regardant un tel paysage, on se disait que la petite vie tranquille de tout un chacun pouvait elle aussi s’interrompre subitement comme cela, d’un coup, sans crier gare, quand le sol venait à manquer sous les pieds."

Écrit par : Michèle | 11/10/2010

@ Cigale : vers la Provence? Qui sait?
@ Michèle : j'adore ces paysages, que j'ai parcouru autrefois. Ecrire sur eux les fait revivre dans ma mémoire. J'ai campé à St Julien d'Arpaon. La Mimente, le pont, le temple protestant, les Canadair, tout est réel en fait. Peu d'invention ici. Mais des impressions fortes, oui. Comme cette descente du causse vers Ste Enimie...

@ Natacha: un peu de bonheur, à cause de cet endroit enchanteur. Mais pour combien de temps encore?

@ J'ai découvert Jean Carrière à 12 ans. Alors qu'il n'y avait pas spécialement de livres à la maison, celui-ci était entré. Je l'avais dévoré.

Écrit par : Feuilly | 11/10/2010

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