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19/08/2010

Obscurité (43) (et cinq centième note de Marche romane)

 
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07:00 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : littérature

Commentaires

C'est une si jolie promenade! Chacun dans son monde, mais ils sont ensemble. L'équilibre tient.

Écrit par : Natacha S. | 19/08/2010

Ensemble, mais chacun a son point de vue.

Écrit par : Feuilly | 19/08/2010

Joli chapitre détente - il en faut.

Écrit par : giulio | 20/08/2010

Au fond, ce qui arrive à la mère, qui, en présence de sa maison d'enfance, raconte, révèle, découvre sa vie ancienne à ses enfants, c'est aussi ce qui arrive au romancier : les personnages qui se sont présentés à lui, demandent à être racontés, le somment de fabuler.
Chacun attend "la promesse d'une découverte d'un petit pan de réalité demeuré jusque-là enfoui, ou du moins négligé".

Écrit par : Michèle | 23/08/2010

Oui et en racontant les personnages on se raconte soi-même probablement. Mais la Dordogne n'est pas le pays de mon enfance. Cela m'aurait plus, je crois.

Écrit par : Feuilly | 25/08/2010

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