10/05/2010
Obscurité (25)
07:00 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : littérature
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Commentaires
eh bun !
Écrit par : ellesurlalune | 10/05/2010
Etat hallucinatoire un peu difficile à suivre dans sa longueur. Bien sûr, les rêves ne sont pas dans le temps. Mais c'était l'aube tout-à.l'heure! Impression d'avoir raté des pages. Je relis. Non, c'est bien la suite. Est-on entré dans le monde la da folie? (mais qui va garder les enfants?). Habituée jusqu'à présent, dans votre texte, à plus de réel, j'erre...
Écrit par : Natacha | 10/05/2010
Elle se réveille à l’aube et va dormir dans la voiture après l’épisode du hérisson. Là elle rêve. Elle est en pleine journée, recherche ses enfants mais se retrouve sur un sentier avec le jeune homme de ses rêves. Puis elle continue et se trouve devant sa vraie maison (mais qui est située dans un autre cadre). Elle emprunte un souterrain (similitude avec la maison de La Courtine mais aussi avec l’écurie obscure du ch. 1). Elle découvre que sa maison est en ruine et elle a perdu les enfants (peut-être morts). Le rêve s’arrête là. Il est anxiogène.
Écrit par : Feuilly | 10/05/2010
Anxiogène, c'est le cas de le dire. J'avais bien suivi, mais ce rêve est si long (je connais, cauchemardeuse expérimentée, il suffit de trente secondes)... Quand retournerons-nous à la réalité? Au regard sain et raisonnable du fils (n'a-t-il vraiment pas de nom?)
Écrit par : Natacha | 11/05/2010
Nous y retournons, le rêve s'arrête là, sur cette dernière phrase. Trente secondes pour parler de l'amour et de la mort, comme vous y allez...
Quant au fils, non, il n' pas de nom. Je ne sais pas pourquoi. peut-être parce qu'au-delà de son individualité propre il représente tous les enfants qui lui ressemblent.
Écrit par : Feuilly | 11/05/2010
Je voulais parler du temps réel du rêve. En quelques secondes, nous vivons une histoire immense.
Écrit par : Natacha | 12/05/2010
Ces photos sont une grande et triste en même temps, j'aime marcher près des lieux abandonnés.
Écrit par : forex | 25/06/2011
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