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25/08/2008

Détail pratique

Depuis plusieurs jours, les commentaires comportant une adresse de site ne « passaient » pas chez Hautetfort. Aujourd’hui, tout s’est débloqué, tant mieux. Le problème, c’est que les messages viennent d’être renvoyés une deuxième fois (avec les adresses des sites jointes) à la date du 25.08.08. Sur un même sujet, on se retrouve donc avec deux fois le même commentaire mais à des dates différentes.
Afin de faciliter la lecture de ceux qui prendraient la lecture de ce blogue en cours de route, j’ai supprimé les commentaires redondants du 25.08 et j’ai replacé les adresses des sites auxquels ils renvoyaient dans le commentaire initial (22 ou 23 août).

10:28 Publié dans Blogue | Lien permanent | Commentaires (9)

Commentaires

Illustration, si besoin en était, de la transparence de notre ami Feuilly, de l'éthique qui l'anime et de son honnêteté.
Ca fait du bien..
Amicalement

Écrit par : Redonnet | 25/08/2008

Diable, tu te mets aussi à faire des compliments? Je suppose que c'est de l'humour?

Écrit par : Feuilly | 25/08/2008

Bon sang vous allez arrêter avec ce diable ! :-D

Il est vrai que les commentaires de "Grand Lama" devenaient surréalistes !

Et maintenant, rebondissement ! ;-)
Si ça continue vous allez dépasser la centaine...

Écrit par : Cigale | 25/08/2008

Voilà que tout s'explique ! Je me demandais en lisant tous ces messages semblables, si brusquement j'avais un vertige de double-vue ou si le temps, se moquant de mes élucubrations, me prenait...au mot et renvoyait du passé dans le présent pour voir le poids de l'éphémère. Effectivement Bertrand était fait pour s'entendre avec Brassens : même humour !

Écrit par : Christiane | 25/08/2008

Cigale, nous sommes entrés dans une confusion du temps. Si les horloges se mettent au diapason, la planète va tanguer !
A moins que les arpenteurs de "Hautefort" aient abusé de psychotropes ! C'est vrai que nous bavardons beaucoup la nuit .

Écrit par : Christiane | 25/08/2008

Suis devenu, par la vertu d'un petit commentaire, le Monsieur Jourdain de l'humour...
Car j'étais on ne peut plus sérieux.

Sur le net, la transparence n'est pas évidente. Ce que nous appelons virtuel est parfois en décalage avec ce que nous nommons réalité. Les deux concepts s'annulent, l'un étant tantôt l'autre et vice-versa.

Le virtuel est bien réel. Il EST présent dans nos vies. En revanche, regardez dans notre quotidien réel. Les situations y sont souvent virtuelles. Bien souvent, même.

Des larmes virtuelles, des projets virtuels, des suppositions, par essence virtuelles, des orgasmes virtuels, même, peut-être, hein, allez savoir jusqu'où peut se nicher la simulation du réel....

Tout ce charabia pour dire que Feuilly qui avait pris soin d'eclaircir le désordre des commentaires d'une note précédente, méritait qu'on signalât son honnêteté intellectuelle.

Ou virtuelle....(Là, c'est de l'humour...)

Écrit par : Redonnet | 26/08/2008

Nous allons nous retrouver au Collège de Pataphysique avec Vian et Queneau; ou peut-être avalés par cet ordinateur dans un monde virtuel où Brassens prendra sa guitare et avec son sourire timide nous emmènera dans son pays de tendresse et d'anarchie...
Je trouve cela très surréaliste cette embrouille chez Hautefort...étrangeté de nos dialogues réimprimés à l'infini, questions se doublant où venant à nouveau après les réponses comme si on avait mal répondu... Bavarder, ici, devient une histoire tellement fantastique qu'il nous vient l'audace de remettre en cause ce que l'on croit logique. L'univers des mots devient farfelu et embarrassant. Déboussolés, nous naviguons a vue dans les bancs de brouillard où rencontrer monsieur William et ses fautes d'orthographe, un Dalaï Lama, mains jointes, bloqué comme un automate dans ses saluts souriants, des étoiles mortes que l'on rallume avec le briquet des mots quand sonne la minuit, des détails pratiques qui prennent une tournure fantaisiste...
"Il se fit un abondant silence à l'entour, et la majeure partie du reste du monde se mit à compter pour du beurre...
- Zut... Zut... et bran ! dit Colin. Je lui ai dit une stupidité, et c'est pour ça que je m'en allais.
... Le soleil dépliait lentement ses rayons et les hasardait, avec précaution, dans des endroits qu'il ne pouvait atteindre directement, les recourbant à angles arrondis et onctueux, mais se heurtait à des choses très noires et les retirait très vite, d'un mouvement nerveux et précis de poulpe doré..."
Boris Vian, L'écume des jours (1946)
zonzonnons donc !

Écrit par : Christiane | 26/08/2008

je fais un petit aparte avec Christiane, tu ne m'en voudras pas, Feuilly.
Et si tu ne comprends pas, c'est bien fait pour toi parce que ça veut dire que tu n'as pas lu le premier chapitre du polar sur mon blog, et ça, c'est très, très mal...
Donc, monsieur William ne fait pas de fautes : Il laisse delibérément passer celles des autres...mais...chuttt...Appâtons Feuilly...

Écrit par : Redonnet | 26/08/2008

Re chute ! j'avais bien compris cela quand il répond : - Oui, mais elle ne le sait pas !
Ce sont donc de drôles de fautes au deuxième degré et j'adore cela !

Écrit par : Christiane | 26/08/2008

Les commentaires sont fermés.