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Je l'ai lu juste après mes études, quand j'avais eu un ami féru de littérature belge... (De même que Histoire d'une Marie, d'André Baillon, ou Un mâle (mais j'ai peut-être passé des pages...) Donc, je ne me souviens pas de tout.
Il me semble me souvenir qu'il avait créé une pièce, sorte d'antre de Barbe-Bleue, où il conservait les souvenirs intimes de sa femme. Et que sa seconde compagne entre un moment dans la pièce, prend la tresse en main, ou l'essaie comme postiche (je ne sais plus trop, je devrais le relire) et que c'est alors qu'il la tue. Les veufs exagèrent toujours o;)
Evidemment, je me dis souvent que toutes ces anciennes bâtisses, ces vieux béguinages, ces ruelles, ces villes anciennes qui ont un grand charme ou succès touristique maintenant, devaient être plus austères et inconfortables, l'hiver, quand l'électricité et le chauffage central n'existaient pas. Il suffit de voir les premières peintures de Spilliaert pour s'en convaincre. Transplantons-les à Bruges, et cela nous donnerait une idée...
Tous ces grands auteurs décidément sont allés à Sainte-Barbe o;) Je pense que les Maeterlinck y allaient toujours. Ils avaient le choix entre Sainte-Barbe et l'Ecole des Frères (plus scientifique), et il y avait un pendant féminin pour les filles gantoises, qui devenaient des épouses gantoises bourgeoises et s'ennuyaient à périr quand elles ne pouvaient pas travailler (enseigner par exemple)...
J'avais oublié le film... Je suis en train d'écouter Marc Q. Un veuf éploré qui ne se remet pas de la mort de sa femme, c'est vraiment une tautologie. Mais c'est la (deuxième) femme qui devrait l'étrangler (mais ça n'en vaut pas la peine, faire de la prison pour ça...)
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Il me semble me souvenir qu'il avait créé une pièce, sorte d'antre de Barbe-Bleue, où il conservait les souvenirs intimes de sa femme. Et que sa seconde compagne entre un moment dans la pièce, prend la tresse en main, ou l'essaie comme postiche (je ne sais plus trop, je devrais le relire) et que c'est alors qu'il la tue. Les veufs exagèrent toujours o;)
Evidemment, je me dis souvent que toutes ces anciennes bâtisses, ces vieux béguinages, ces ruelles, ces villes anciennes qui ont un grand charme ou succès touristique maintenant, devaient être plus austères et inconfortables, l'hiver, quand l'électricité et le chauffage central n'existaient pas. Il suffit de voir les premières peintures de Spilliaert pour s'en convaincre. Transplantons-les à Bruges, et cela nous donnerait une idée...
Tous ces grands auteurs décidément sont allés à Sainte-Barbe o;) Je pense que les Maeterlinck y allaient toujours. Ils avaient le choix entre Sainte-Barbe et l'Ecole des Frères (plus scientifique), et il y avait un pendant féminin pour les filles gantoises, qui devenaient des épouses gantoises bourgeoises et s'ennuyaient à périr quand elles ne pouvaient pas travailler (enseigner par exemple)...
Écrit par : Pivoine | 22/06/2017
Écrit par : Pivoine | 22/06/2017
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