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11/02/2011

De l'origine des mots (encore et toujours)

Avaler : ce verbe désigne tout d’abord l’idée de descendre, d’aller vers le « val » (cf. l’expression « aller par monts et par vaux », donc des sommets vers la vallée, autrement dit un peu partout). De l’idée de « descendre », avaler est passé à celle de « faire descendre », puis, par restriction sémantique, on en est arrivé à notre sens actuel : « faire descendre un aliment dans le gosier ».

 

Par le cuerbé : ce juron n’a rien à voir avec le corbeau (latin « corvus »), comme on pourrait le croire. Le « bé » qui termine le mot est une déformation de « Dé » autrement dit de Dieu. Par le cuerbé, c’est donc « par le cœur de Dieu ». De la même manière nous avons « corbleu » (par le corps de Dieu), morbleu (par la mort de Dieu), palsambleu (par le sang de Dieu). Pour ceux qui aiment les gros mots, je les renvoie à la chanson de Brassens « La Ronde des jurons », où en en trouve de toutes les sortes :

 

Tous les morbleus, tous les ventrebleus,
Les sacrebleus et les cornegidouilles,
Ainsi, parbleu, que les jarnibleus
Et les palsambleus,
Tous les cristis, les ventres saint-gris,
Les par ma barbe et les noms d'une pipe,
Ainsi, pardi, que les sapristis
Et les sacristis,
Sans oublier les jarnicotons,
Les scrogneugneus et les bigree et les bougree,
Les saperlottes, les cré nom de nom,
Les peste, et pouah, diantre, fichtre et foutre,
Tous les Bon Dieu,
Tous les vertudieux,
Tonnerre de Brest et saperlipopette,
Ainsi, pardieu, que les jarnidieux
Et les pasquedieu

 

Ah Brassens… J’en profite pour signaler que chaque semaine, sur le site de Bertrand Redonnet, on peut lire des extraits du livre qu’il avait consacré autrefois à ce poète-troubadour. Mais qu’on ne vienne pas m’accuser ici de plagier son blogue, comme je l’ai ouï dire. Cornegidouille (juron inventé par Jary dans Ubu Roi), on ne pourrait donc plus parler d’étymologie sans se retrouver avec un procès d’intention sur le dos sous prétexte qu’ailleurs, autrement dit en Pologne (« La scène est en Pologne, c’est-à-dire nulle part » comme disait le même Jary), une connaissance s’amuse également à jouer avec les mots ? « Honni soit qui mal y pense » (comme disait un roi angloy, en parlant, lui, de la jarretière de la mariée).

 

Puisque nous évoquions plus haut le corbeau, parlons-en. Le mot vient de « corbiaus » et est issu du latin populaire corbellus. Celui-ci est un diminutif de corbus, lequel avait donné de son côté « corp » au singulier et cors au pluriel, mais ce terme a finalement disparu au profit de notre corbeau, sans doute pour éviter la confusion avec « corps » ou « cor ».

Corbus lui-même était issu du latin classique corvus.

 

Le sens a évolué. Ainsi, par analogie avec le bec de l’oiseau, le mot corbeau a désigné en architecture une grosse pierre en saillie et qui sert à soutenir une partie qui dépasse (« encorbellement»). Il faut attendre la XIXe siècle pour voir le mot corbeau prendre différents sens négatifs (liés à la couleur noire de l’oiseau) et désigner tantôt un prêtre, tantôt un croque-mort, tantôt un homme sans scrupule et finalement un auteur de lettres anonymes.

 

Gésir : en ancien français, ce verbe signifiait aussi bien « être couché » que « être en couches, accoucher ». On fait là plutôt allusion à la position couchée de la jeune mère, après ses couches, plutôt qu’à la position adoptée pendant l’accouchement proprement dit. En effet, si je me souviens bien de mes lectures, au Moyen Age les femmes accouchaient plutôt debout ou accroupies.   

 

 Es canbres la roine : dans la chambre de la reine. On remarquera la construction du complément du nom (ancien génitif) qui pouvait encore se faire sans préposition au début du XIIIe siècle. On disait donc « le cor le conte » et « le fix le conte ».

 

Oïl : adverbe d’affirmation qui provient de « o » et il (pronom personnel de la troisième personne du singulier). Mais on avait aussi oie (o + ie, c’est-à-dire « je »). En Occitanie, on avait évidemment la forme « oc » (du latin « hoc », cela. Le sens était donc « oui, c’est cela »).

 

grand_corbeau.jpg

Commentaires

Je ne trouve pas très honnête que tu fasses allusion dans le corps de ton texte à un léger incident d'ordre privé, sur lequel nous nous sommes expliqués en privé.
C'est là où l'on sait le moins qu'on fait soupçonner le plus et le procédé est manipulateur.
Je vais donc dire la vérité. Ma compagne, Dorota, trouve que ton idée d'éplucher de l'étymologie quand je donne chaque semaine l'explication littéraire de certaines expressions et m'attarde sur l étymologie chez Brassens a des airs de ressemblance avec ma démarche.
Elle a le droit de le penser, de le sentir, sans pour autant être renvoyée sur les roses comme tu le fais là.
Elle t'avait donc laissé un commentaire ironique : " L'important c'est d'avoir de bonnes idées". Elle avait signé Inconnue, supputant, comme elle me l'a dit, que tu saurais identifier la Pologne avec l'IP.
Moi, j'étais au lit avec la grippe et c'était lundi.
Tu as supprimé le commentaire de Dorota, par inadvertance, m'as-tu dit , et je voulais bien te croire.
Aujourd'hui, j'en doute, vu ta réaction ici.
Je t'ai écrit pour te dire que ça n'était donc pas moi qui avait laissé ce commentaire, que j'exécrais l'anonymat et que Dorota avait le droit de penser ce qu'elle pense et même de le dire.
Le nombre de conneries qu'on voit dans les commentaires et qui ne sont pas censurées, excuse-moi, mais....
Bref. Je ne te donnerai pas mon sentiment sur ta démarche. Tu fais ce que tu veux et moi aussi et je n'ai pas le monopole des explications de texte.
Et, ma foi, si tu m'imites, c'est flatteur pour moi et dépréciateur pour toi.
En revanche, que tu dises que je suis nulle part, et que je m'amuse avec des mots, là, je le prends très mal et ça n'est vraiment pas intelligent de ta part.
Si tes lecteurs ont un atome de bon sens, d'intelligence et de culture, ils auront su décrypter : la phrase célèbre de Jarry fait allusion à un pays rayé de la carte dans la torture et le sang par les empires, fait qu'il déplore bien sûr.
L'utilisation que tu en fais là est injurieuse et proprement scandaleuse.
Quant aux mots, je ne m'amuse pas avec eux. C'est eux qui s'amusent avec moi.
Si tu savais écrire, tu le saurais.

Écrit par : Bertrand | 11/02/2011

@ Bertrand : Je ne trouve pas très malin de rebondir sur cette affaire à laquelle j’ai fait allusion dans mon texte, certes, mais d’une manière vague et imprécise, ne citant personne et ne compromettant donc personne directement. Tu as décidé, toi, de dévoiler des noms. Soit.

Puisqu’il est interdit de parler d’étymologie, nous n’en parlerons donc plus.
Je continue cependant à dire que ma démarche n’avait rien à voir avec ton explication de Brassens (à laquelle je renvoyais d’ailleurs gentiment) et que ce n’est d’ailleurs pas la première fois que Marche romane aborde ce genre de thème, qui me passionne au plus haut point.

Comme je continue à dire que ce commentaire (que tu qualifies par ailleurs d’ironique) a bien été effacé par inadvertance. J’avais dû insérer une deuxième fois l’article à cause de la taille de la police qui n’avait pas été respectée et, forcément, j’ai effacé le doublon que constituait la première version. Malheureusement, entre-temps un commentaire avait été inséré. Comme je n’avais rien compris à son contenu, je l’ai effacé avec le reste sans état d’âme. Voilà.

Pour ce qui est du « nombre de conneries qu'on voit dans les commentaires », c’est sans doute vrai, mais ce que tu dis là n’est pas très respectueux pour mes lecteurs. Je n’ai pas toujours été d’accord avec tous les commentaires et ils m’ont parfois gêné quand ils étaient trop élogieux, mais je les ai toujours laissés, par principe, n’aimant pas la censure.

Je n’ai jamais dit que tu étais « nulle part » et je me garderais bien de critiquer la Pologne, pays qui en vaut bien un autre. Je venais de citer Jarry au sujet de la création du mot « Cornegidouille » et, forcément, c’était tentant de le citer encore puisqu’on parlait de la Pologne. On est ici dans un jeu de citations comme le prouve l’allusion au « honni soit qui mal y pense », phrase prononcée cette fois par un roi anglais. Espérons donc que la reine d’Angleterre ne vienne pas m’attaquer ici sous prétexte que j’aurais sali un de ses ancêtres, comme tu m’attaques toi en prétendant que mes propos sont injurieux et scandaleux pour la Pologne.

Pour le reste, je veux bien admettre que je ne sais pas écrire. Mais il faut croire que je ne sais pas lire non plus car je ne comprends rien à ta phrase « Quant aux mots, je ne m'amuse pas avec eux. C'est eux qui s'amusent avec moi ». Pour moi c’est du pareil au même et je ne vois de toute façon rien de répréhensible à éprouver du plaisir à jouer avec les mots.

Conclusion : je déteste les conflits et je ne viens pas sur Internet pour retrouver l’ambiance dans laquelle ils nous faut souvent vivre dans la vie « réelle ». Si je ne peux plus parler d’étymologie sans me faire accuser de plagiat, si je ne peux pas citer un auteur sans me retrouver au tribunal de l’Histoire, je n’ai plus grand chose à faire ici. Je m’amusais, oui, à glisser quelques textes de ma composition, mauvaise idée sans doute puisque je ne sais pas écrire. Mieux vaut donc en rester là, du moins pour un certain temps. Le site est donc à l’arrêt.

Écrit par : Feuilly | 11/02/2011

Là, tu fais la comédie et tu pleurniches. L'affaire est beaucoup plus simple : Nous nous étions expliqués en privé, gentiment , cordialement, tu n'avais pas à ramener ta gueule là-dessus.
Tu me prends pour qui ? Tu dis :
..." mais d’une manière vague et imprécise, ne citant personne et ne compromettant donc personne directement."
C'est-à-ditre que c'était une allusion publique à ma compagne et que j'étais le seul, avec elle, à devoir comprendre ?
Mais c'est idiot et c'est pas très gentil pour tes lecteurs !
Je suis bien content d'avoir mis ça sur la place publique parce que c'était malhonnête de ta part, oui.
Tu veux que je mette sur Exil des brins de conversation que nous avons échangés en privé ?
Tu te fous de moi !
Et tu persistes dans l'erreur mensongère : Le tribunal de l'histoire, non ,mais tu ne sais vraiment pas de quoi tu causes et personne ne te dit de te taire !
On dirait un enfant qui a pris une fessée !
Dommage, j'aimais bien notre relation.
Je déclare qu'elle en restera là.
Je te laisse à tes intrigues de basse-cour.

Écrit par : Bertrand | 11/02/2011

« Il pleut du fer et du plomb ici » pour continuer avec Jarry.

Il est des jeux de citation qui ne ressortissent plus guère au jeu, dès lors qu'on fait affleurer la jarretelle sur des sols rougis par le sang. La citation, dans ce cas, cache un travers de l'entendement, une sorte d'occlusion temporaire dont le jeu pourrait être à visée blessante.

Écrit par : ArD | 11/02/2011

Oh! Hé! C'est le lecteur qui est ici maltraité, ne comprenant rien à votre différend!
Pourquoi, Feuilly, déclarez-vous votre site à l'arrêt?
Je m'insurge!
C'est idiot!
Bon courage!

Écrit par : Natacha S. | 11/02/2011

EUREKA ! Après le peuple tunisien, le peuple égyptien a gagné à son tour.

Écrit par : giulio | 11/02/2011

Réjouissons-nous, Giulio, timidement, il faut voir.
Mais d'accord avec vous. Ouvrons la fenêtre, nos oreilles et notre intelligence!
Mais il y a aussi les guerres en nous, je ne vois pas pourquoi Feuilly et Bertrand s'étripent ainsi. Quel dommage!

Écrit par : Natacha S. | 11/02/2011

Vous avez bien raison Natacha. Et dire, que la plupart du temps il s'agit de simples malentendus. Il y en aurait moins si l'on entendait davantage les femmes.

En attendant que Feuilly remette son site en mouvement, venez donc parfois papoter chez helenablue.hautetfort.com/, ou paradisbancale.over-blog.com/, ou bien sur http://jalelelgharbipoesie.blogspot.com/, que notre ami Feuilly honore parfois d'une visite.

Écrit par : giulio | 12/02/2011

Je voudrais juste citer quelqu’un, ou plus exactement des extraits d’un texte difficile à résumer. Il parlait de sa "petite musique intérieure", celle qui présidait à la tenue de son blogue. Il disait ceci :

« Dans une société impersonnelle qui nous demande surtout d’être rentables, chacun éprouve manifestement le besoin de dire qui il est et ce qui lui tient à cœur. Un blogue, c’est une tribune. A partir du moment où je vis en décalage avec la version officielle donnée par la société, il me faut réagir et clamer haut et fort mes opinions… Le fait de ne plus se sentir seul de son opinion console, réconforte et aide à survivre.
Vous me direz que les personnes qui viennent laisser des commentaires ne sont pas toujours d’accord avec l’auteur du blogue. C’est exact, mais cela a peu d’importance car dans ce cas le blogue se transforme en ring ou en tatami sur lequel on vient défendre ses opinions contre l’adversaire. Ce qui compte, c’est qu’on le fasse devant un public attentif qui compte les coups et qui à l’occasion donne son avis. Ici aussi, donc, il s’agit de dire qui on est, ce que l’on pense, et finalement d’oser affirmer ses opinons les plus intimes.
Le blogue a donc une vertu cathartique et l’on pourrait presque dire qu’il s’apparente à la vieille maïeutique socratique puisque par le truchement de l’écriture il nous oblige à aller dans nos derniers retranchements pour mettre clairement à l’écran (j’allais dire sur le papier) des pensées qui souvent restaient confuses pour nous-mêmes parce qu’elles étaient enfouies au plus profond de notre être. »

A la suite de ce texte, certaines personnes sont venues et ont laissé des commentaires. J’ai choisi aussi, arbitrairement, des extraits d’un commentaire que j’ai beaucoup apprécié :

« Voilà, j'avais envie de bavarder avec vous et j'ai choisi, un peu au hasard, cette page. Je ne le regrette pas. Je sens que l'après-midi sera calme.
Comment suis-je arrivée ici ? Hasard.
Pourquoi je reste ici ? Confiance.
Celle qui me permet une parole droite et libre, une parole intime, puisqu'elle s'inscrit dans les souvenirs ou dans l'acquiescement.
…Vos questions sont rares et délicates. Une aimantation me retient ici quand la nuit vient, l'heure des métamorphoses, des contes, des impossibles oubliés.
Il y a une rivière entre nous. Elle nous protège en nous séparant et c'est beau cela. Chacun garde ainsi son lieu... L'eau que je bois ici, efface les autres chemins… je n'ai jamais vécu un tel enlacement des pensées, comme si elles avaient attendu dans l'indicible la part de l'autre. Elles étaient inconnues l'une de l'autre avant et ne s'étonnent même pas de s'être rencontrées… J'aime nos pensées dans leurs différences et dans leurs ressemblances.
Espérant vous retrouver ce soir, confiant et accordé...malgré toute cette étrangeté... »

Vous voyez Feuilly, je n’ai pas été original, je n’ai fait que citer les autres. Mais quand c’est bien dit, je m’incline !

Au fait, avant de finir, et dans un souci d’éviter une poursuite pour plagiat, je vous donne les noms des auteurs :
- Le premier texte est écrit par…Feuilly, le 24 avril 2008
- Le commentaire est de votre fidèle lectrice, notre amie Christiane, publié le 30 avril 2008

Avouez qu’il n’y a pas grand chose à rajouter, sauf vous demander de ne pas saborder un blog qui nous sert de trait d’union, qui console, réconforte et aide à survivre.

Un dernier mot. Pour le cas où vous l’auriez oublié, je vous rappelle que vous avez commencé à nous entretenir de l'origine des mots en 2007 (post du 16 aout 2007). Alors de grâce, continuez.

Écrit par : Halagu | 12/02/2011

«Avouez qu’il n’y a pas grand chose à rajouter, sauf vous demander de ne pas saborder un blog qui nous sert de trait d’union, qui console, réconforte et aide à survivre...»
Je ne peux que reprendre les mots d'Halagu.
En ajoutant: nous sommes des centaines à aimer les origines des mots et à trouver un vif plaisir à qui nous en propose. Qu'on vous attaque là-dessus est d'une bêtise insondable. Poursuivez! Amitiés!

Écrit par : Natacha S. | 12/02/2011

Bon, bon, les heures qui passent permettent de relativer pas mal de choses. Une bonne nuit (non pas de sommeil mais de réflexions) éclaircit également les idées. Le soutien des lecteurs n'est pas négligeable non plus. Cela fait chaud au coeur. Ce serait bête de se laisser abattre par un moment de découragement. "Marche romane" pourra donc continuer. A son rythme, c'est-à-dire au mien (sourire). L'incident a été sérieux, on a été au bord du gouffre. Mais j'ai eu plus de chance que notre trio d'Obscurité. La route continue.

Écrit par : Feuilly | 13/02/2011

Juste dire que je ne souhaite pas poursuivre la polémique avec Bertrand. La page est tournée et c’est déjà assez pénible comme cela, concernant quelqu’un que j’appréciais tant sur le plan de l’écriture que sur celui des idées. Je ne comprends toujours pas pourquoi, à partir du moment où quelqu’un (qui n’est pas lui) ironisait anonymement et publiquement au sujet d’un plagiat éventuel (ce que je ne pouvais pas mal prendre puisque je ne me sentais évidemment nullement concerné), je ne comprends toujours pas, dis-je, pourquoi je n’avais pas le droit, à mon tour, de me montrer publiquement ironique envers cette personne. Il n’y avait rien là de bien méchant, juste une taquinerie en réponse à une autre taquinerie. Les choses ont été comprises autrement. Tant pis.

Il est vrai que, découragé, j’ai pensé à arrêter ce site, tant il me semblait impensable d’écrire dans un climat qui ne serait pas serein. Cela est perçu comme une pleurnicherie manipulatrice. Chacun est libre de penser ce qu’il veut là-dessus. Pour moi la page est tournée. Je ne reviendrai plus sur ce sujet, cela ne ferait qu’attiser le débat..

Écrit par : Feuilly | 14/02/2011

"Je ne comprends toujours pas pourquoi, à partir du moment où quelqu’un (qui n’est pas lui) ironisait anonymement et publiquement au sujet d’un plagiat éventuel (ce que je ne pouvais pas mal prendre puisque je ne me sentais évidemment nullement concerné), je ne comprends toujours pas, dis-je, pourquoi je n’avais pas le droit, à mon tour, de me montrer publiquement ironique envers cette personne"

Non, Monsieur, puisque vous m'aviez refusé ce droit à l'ironie en me censurant, à dessein ou par erreur.
Il manquait donc un acteur, en l'occurrence une actrice, à votre soi-disant ironie
Dorota

Écrit par : Dorota | 14/02/2011

Choquée de me faire insulter par Bertrand Redonnet (que j'ai toujours admiré), trop triste de voir comment un aimable salon de conversation littéraire devient soudain un lieu d'empoignade, quand personne ne se connaît dans le réel, je m'en vais de ces blogs. Le fiel de Redonnet a fait son oeuvre, plus envie de venir sur Marche Romane.
Dommage! Tellement dommage! A quelques mois ou années de notre mort, à quoi bon toutes ces hargnes?

Écrit par : Natacha S. | 14/02/2011

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