27/09/2010
Obscurité (50)
07:00 Publié dans Prose | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : littérature
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Commentaires
Beau parallèle entre les vacanciers et les nomades désemparés. Auparavant, j'ai aimé la vision allumée de ce camping pas comme les autres, à Lourdes (où il se passe donc des miracles!).
Écrit par : Natacha S. | 27/09/2010
@ Natacha : pourquoi ne pas laisser les "virgo ex machina" à Bernadette et aux arnaqueurs du coin ? Feuilly, en romancier ingambe, s'est contenté de faire apparaître comme Aristophane d'on ne sait où son Socrate costaud mal rasé et l’air un peu marginal à l'ampoule cassée. Merci Feuilly d'avoir une fois de plus sauvé la mise à nos amis. Pourvou k'sa doure!
Écrit par : giulio | 27/09/2010
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